
Présidente – Wild Legal
Wild Legal a pour objectif de développer, par la formation, l’étude, la promotion et la mise en oeuvre d’une Jurisprudence de la Terre, un réseau national et international d’acteurs du monde juridique et de la société civile engagés pour la reconnaissance des droits de la Nature et du crime d’écocide.

Porte parole – Or de question
Or de question est un collectif citoyen opposé aux projets industriels d’exploitation minière, apolitique et non violent, représentant 25 organisations guyanaises et soutenu par de nombreuses organisations nationales. Objectif : s’opposer à l’implantation de la méga-industrie minière internationale en Guyane.

Coordinatrice – GARN Europe
L’Alliance mondiale pour les droits de la nature (GARN – https://therightsofnature.org/), fondée en 2010, est une coalition d’organisations et d’individus de 100 pays engagés dans l’adoption et la mise en œuvre de systèmes juridiques pour la reconnaissance, le respect et l’application des droits de la nature. La GARN Europe est l’entité régionale regroupant organisations et individus travaillant ensemble pour promouvoir et faire progresser le mouvement des droits de la nature dans la région.

Administratrice – Maiouri Nature Guyane
Maïouri Nature Guyane a pour vocation la défense de l’Environnement et de l’Homme, des milieux naturels terrestres, aquatiques et marins de la Guyane. Elle s’attache tout particulièrement aux problématiques liées à l’écologie urbaine, au respect du code de l’environnement et aux pressions du lobby minier, en particulier l’orpaillage légal et illégal.

Administratrice – People’s Planet Project
People’s Planet Project a pour objectif d’utiliser l’outil de la vidéo pour renforcer les droits des peuples autochtones en donnant aux jeunes (avec un fort accent sur les femmes) les moyens de raconter leurs propres histoires à travers des films et d’exprimer les difficultés auxquelles ils sont confrontés pour sécuriser les forêts ancestrales, la sagesse et le patrimoine culturel. L’association combine les films, les données géospatiales et la défense des droits des autochtones par le biais d’un réseau d’avocats environnementaux et d’organisations de défense des droits de l’Homme afin de parvenir à un changement de politique durable sur le droit coutumier autochtone et la préservation des forêts tropicales.